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Les études supérieures peuvent coûter très cher, car en plus du coût de l’inscription dans certaines écoles, il faut bien souvent ajouter le logement, les transports, les factures et les dépenses liées à la vie étudiante. Voici 6 solutions pour financer vos études et ainsi vous former sans redouter les fins de mois difficiles. Entre les bourses d’État et celles proposées dans le secteur privé, les possibilités de travail et quelques solutions alternatives innovantes, vous aurez le choix.
Les organismes financiers (banques, établissements spécialisés) sont nombreux à proposer des prêts étudiants. Si cela peut être assez effrayant au départ, avec cette impression de s’endetter alors qu’on ne travaille pas, c’est une solution pratique assortie de divers avantages :
Seul bémol, il faudra souvent disposer de garants solides pour être éligibles à ce type de prêt. Si vous n’en avez pas, l’État à prévu un dispositif via lequel il se porte garant (appelé Prêt garanti par l’État) mais son obtention est soumise à des conditions strictes.
L’État français propose un large panel d’aides pour aider à financer des études. Leur attribution dépend de divers critères, mais vous pourriez être éligible à une ou plusieurs d’entre elles. On trouve notamment :
Pensez également aux aides au logement (APL) disponibles auprès de votre CAF (Caisse d’Allocation Familiale) locale ou aux résidences universitaires du CROUS.
Certaines écoles de commerce offrent des aides supplémentaires aux étudiants qui choisissent leur école, par souci de diversifier les profils. Il faut alors se renseigner auprès dudit établissement pour connaître les possibilités et les critères d’attribution.
Il s’agit souvent de fondations créées par les anciens élèves ou de sponsoring d’entreprises, qui s’engagent à payer les frais d’étude si l’élève accepte de travailler pour eux une fois qu’il a terminé sa formation. Cette solution présente l’avantage d’un emploi garanti en fin d’études.
Les contrats d’alternance ou d’apprentissage permettent à un étudiant de se professionnaliser au sein d’une entreprise, qui se chargera de payer les frais de scolarité. En plus d’un enseignement concret et pratique, qui permet de mettre un pied dans le monde du travail, cette solution permet à l’étudiant de recevoir un salaire mensuel (minimum 80 % du SMIC).
Parmi les solutions alternatives les plus en vogue du moment, il y a le crowdfunding. Le principe est le suivant : un futur étudiant présente son projet d’étude sur une page de profil dédiée, dans le but d’obtenir un financement participatif. C’est une solution adaptée aux étudiants étrangers (par exemple, un étranger qui souhaite se former en France pour ensuite ouvrir un établissement spécifique dans son pays) ou à ceux qui ont un objectif final original.
Pour l’étudiant, c’est une manière d’obtenir des fonds rapidement et les donateurs bénéficient de réduction d’impôts, tout en soutenant un projet qui leur tient à cœur.
Si travailler tout en suivant des études supérieures demande une organisation parfaite et beaucoup d’énergie, cela est gratifiant et permet de dégager un revenu supplémentaire qui ne sera pas de trop face aux dépenses de la vie étudiante. Il est possible de concilier les deux en optant pour un emploi à temps partiel ou pour un job le week-end uniquement. Mais pensez à vous ménager pour garder la force nécessaire pour étudier convenablement !
Bon à savoir : en cas de difficultés financières, sachez qu’il est possible de rédiger un courrier pour demander l’exonération des frais de scolarité auprès de votre établissement.